cddition
J'ai peur si tu restes
J'ai peur de tes gestes, qui disent qu'on avance ensemble
J'ai peur de tes lèvres
Qui m'embrassent pour la millième fois, ça veut dire quoi, ça veut dire quoi
J'ai peur des sms
Qui s'entassent depuis des années, dans nos téléphones, c'est terrifiant
J'ai peur de l'appartement
Car il cri « faut voir plus grand », mais c'est quoi plus grand, moi je suis à mon maximum
Tout s'additionne, tout s'additionne, et ça dissone
S'additionne, tout s'additionne, et ça dissone
S'additionne, tout s'additionne, et ça dissone
S'additionne, tout s'additionne, et ça dissone
Tout s'additionne, tout s'additionne, et ça dissone
S'additionne, tout s'additionne, et ça dissone
S'additionne, tout s'additionne, et ça dissone
S'additionne, tout s'additionne, et ça dissone
J'ai peur du temps qui trace
Et nous deux c'est la mesure la plus précise de nos vies qui rétrécissent
Et J'ai peur des vêtements
Que l'on se prête de temps en temps comme si on était plus qu'une personne
Tout s'additionne, tout s'additionne, et ça dissone
S'additionne, tout s'additionne, et ça dissone
S'additionne, tout s'additionne, et ça dissone
S'additionne, tout s'additionne, et ça dissone
Tout s'additionne, tout s'additionne, et ça dissone
S'additionne, tout s'additionne, et ça dissone
S'additionne, tout s'additionne, et ça dissone
S'additionne, tout s'additionne, et ça dissone