Neige d’octobre
(Neigé en octobre
Jure que j'étais sobre
Neigé en octobre)
Mon cœur fait nuit
Je suis dans ces longs soirs d’hivers
Perdu entre fait divers
Et réalité
La solitude
Pour seule compagnie
C’est vrai j’ai mon chien aussi
C’est mon meilleur ami
Et si je peux lui parlé
Qu’est-ce qu’il y connaît
Il n’aura jamais accès
Aux méandres de mes pensées
Enfouies
Dans mon âme
Et des flammes
Noires
Glaciales
Me consument
Chaquе jour
Mais je les ai apprivoisé
Je t’assurе
Bien mieux scellés
Que Kurama enchaîné
Jinchuriki ne peux jamais laissé
Se manifester une telle entité
Erreur de la nature à vous glacer le sang
L’amour est comme les contes pour enfant
Il était une fois
Ne se reproduira pas
Tout n’est plus qu’un amas
De vide autour de moi
Blanc
Comme la pâleur de la mort
(Blanc!)
Blanc
Comme un linceul sur un corps
Il a neigé en octobre
J’vous jure que j’étais sobre
C’était trop tôt
Putain
Beaucoup trop tôt
Mon cœur est Tohu bohu
Mon esprit Wabi Sabi
Autour de moi la cohue
Pourtant le vide m’envahit
Sans op-
-pression
Le calme avant la tempête
Ma di-
-rection
Un précipice où se jette
Les démons qui veulent me hanté
Désespérés vont se suicider
Voulaient m’entraîner sur des sentiers
Tortueux mais finirent enchaînés
Dans l’ennui de ma vie
Le bonheur c’est l’ennui
Transforme en créateur
D’un élan innovateur
L’esprit qui se perds
Dans des univers
Que nul n’a encore exploré
Attendant d’être révélés
Il était une fois
Ne se reproduira pas
Tout n’est plus qu’un amas
De vide autour de moi
Blanc
Comme la pâleur de la mort
Blanc, un blanc éclatant
Comme un linceul sur un corps
Il a neigé en octobre
J’vous jure que j’étais sobre
C’était trop tôt
Beaucoup trop tôt
(Il a neigé en octobre)
Il a neigé en octobre
J’vous jure que j’étais sobre
C’était trop tôt
Putain
Beaucoup trop tôt