Exil sur planète fantôme

Hubert-Felix Thiefaine, Claude Mairet

Paroles Traduction

En ce temps-là nos fleurs vendaient leur viande aux chiens
Et nous habitions tous de sordides tripots
Avec des aiguillages pour nos petits matins
Quand le beau macadam nous traitait de salauds
Nous traitait de salauds
Nous vivions nos vertiges dans des vibrations folles
Et gerbions nos enzymes en nous gueulant, moteur
Mais entre deux voyages, entre deux verres d'alcool
Nous n'avions pas le temps de décompter nos heures
De décompter nos heures

Nous étions les danseurs d'un monde à l'agonie
En même temps que fantômes, conscients d'être mort-nés
Nous étions fossoyeurs d'un monde à l'agonie

En ce temps-là le rien s'appelait quotidien
Et nous allions pointer dans les jobs interdits
Dans les musiques blêmes, dans les sombres parfums
Dans les dédales obscurs où plane la folie
Où plane la folie
Et nous avions des gueules à briser les miroirs
À ne montrer nos yeux que dans le contre-jour
Mais entre deux délires, entre deux idées noires
Nous étions les plus beaux, nous vivions à rebours
Nous vivions à rebours

Nous étions les danseurs d'un monde à l'agonie
En même temps que fantômes, conscients d'être mort-nés
Nous étions fossoyeurs d'un monde à l'agonie

En ce temps-là les gens s'appelaient citoyens
Nous, nous étions mutants, nous étions androgynes
Aujourd'hui la tempête a lynché mes copains
Et je suis le dernier à rater mon suicide
À rater mon suicide
Mais je veux vivre encore plus ivre de cramé
Je veux ronger le mal jusque dans ses recoins
J'ai traîné mes vingt siècles d'inutilité
Je n'ai plus rien à perdre, mais j'en veux pour ma fin
J'en veux pour ma faim

En ce temps-là nos fleurs vendaient leur viande aux chiens
Naquela época, nossas flores vendiam sua carne para os cães
Et nous habitions tous de sordides tripots
E todos nós morávamos em sórdidos antros
Avec des aiguillages pour nos petits matins
Com desvios para nossas manhãs
Quand le beau macadam nous traitait de salauds
Quando o belo asfalto nos chamava de canalhas
Nous traitait de salauds
Nos chamava de canalhas
Nous vivions nos vertiges dans des vibrations folles
Vivíamos nossas vertigens em vibrações loucas
Et gerbions nos enzymes en nous gueulant, moteur
E vomitávamos nossas enzimas gritando, motor
Mais entre deux voyages, entre deux verres d'alcool
Mas entre duas viagens, entre dois copos de álcool
Nous n'avions pas le temps de décompter nos heures
Não tínhamos tempo para contar nossas horas
De décompter nos heures
Para contar nossas horas
Nous étions les danseurs d'un monde à l'agonie
Éramos os dançarinos de um mundo agonizante
En même temps que fantômes, conscients d'être mort-nés
Ao mesmo tempo que fantasmas, conscientes de serem natimortos
Nous étions fossoyeurs d'un monde à l'agonie
Éramos coveiros de um mundo agonizante
En ce temps-là le rien s'appelait quotidien
Naquela época, o nada se chamava cotidiano
Et nous allions pointer dans les jobs interdits
E íamos marcar presença em trabalhos proibidos
Dans les musiques blêmes, dans les sombres parfums
Nas músicas pálidas, nos perfumes sombrios
Dans les dédales obscurs où plane la folie
Nos labirintos obscuros onde paira a loucura
Où plane la folie
Onde paira a loucura
Et nous avions des gueules à briser les miroirs
E tínhamos rostos para quebrar espelhos
À ne montrer nos yeux que dans le contre-jour
Para mostrar nossos olhos apenas no contraluz
Mais entre deux délires, entre deux idées noires
Mas entre dois delírios, entre duas ideias negras
Nous étions les plus beaux, nous vivions à rebours
Éramos os mais belos, vivíamos ao contrário
Nous vivions à rebours
Vivíamos ao contrário
Nous étions les danseurs d'un monde à l'agonie
Éramos os dançarinos de um mundo agonizante
En même temps que fantômes, conscients d'être mort-nés
Ao mesmo tempo que fantasmas, conscientes de serem natimortos
Nous étions fossoyeurs d'un monde à l'agonie
Éramos coveiros de um mundo agonizante
En ce temps-là les gens s'appelaient citoyens
Naquela época, as pessoas se chamavam cidadãos
Nous, nous étions mutants, nous étions androgynes
Nós, éramos mutantes, éramos andróginos
Aujourd'hui la tempête a lynché mes copains
Hoje a tempestade linchou meus amigos
Et je suis le dernier à rater mon suicide
E eu sou o último a falhar no meu suicídio
À rater mon suicide
A falhar no meu suicídio
Mais je veux vivre encore plus ivre de cramé
Mas eu quero viver ainda mais bêbado de queimado
Je veux ronger le mal jusque dans ses recoins
Quero roer o mal até seus cantos
J'ai traîné mes vingt siècles d'inutilité
Arrastei meus vinte séculos de inutilidade
Je n'ai plus rien à perdre, mais j'en veux pour ma fin
Não tenho mais nada a perder, mas quero para o meu fim
J'en veux pour ma faim
Quero para a minha fome
En ce temps-là nos fleurs vendaient leur viande aux chiens
In those days our flowers sold their meat to dogs
Et nous habitions tous de sordides tripots
And we all lived in sordid dens
Avec des aiguillages pour nos petits matins
With switches for our early mornings
Quand le beau macadam nous traitait de salauds
When the beautiful asphalt called us bastards
Nous traitait de salauds
Called us bastards
Nous vivions nos vertiges dans des vibrations folles
We lived our vertigo in crazy vibrations
Et gerbions nos enzymes en nous gueulant, moteur
And vomited our enzymes while yelling, engine
Mais entre deux voyages, entre deux verres d'alcool
But between two trips, between two glasses of alcohol
Nous n'avions pas le temps de décompter nos heures
We didn't have time to count our hours
De décompter nos heures
To count our hours
Nous étions les danseurs d'un monde à l'agonie
We were the dancers of a dying world
En même temps que fantômes, conscients d'être mort-nés
At the same time as ghosts, aware of being stillborn
Nous étions fossoyeurs d'un monde à l'agonie
We were gravediggers of a dying world
En ce temps-là le rien s'appelait quotidien
In those days nothing was called daily
Et nous allions pointer dans les jobs interdits
And we went to clock in at forbidden jobs
Dans les musiques blêmes, dans les sombres parfums
In pale music, in dark perfumes
Dans les dédales obscurs où plane la folie
In the obscure labyrinths where madness lurks
Où plane la folie
Where madness lurks
Et nous avions des gueules à briser les miroirs
And we had faces to break mirrors
À ne montrer nos yeux que dans le contre-jour
To show our eyes only in backlight
Mais entre deux délires, entre deux idées noires
But between two deliriums, between two dark ideas
Nous étions les plus beaux, nous vivions à rebours
We were the most beautiful, we lived backwards
Nous vivions à rebours
We lived backwards
Nous étions les danseurs d'un monde à l'agonie
We were the dancers of a dying world
En même temps que fantômes, conscients d'être mort-nés
At the same time as ghosts, aware of being stillborn
Nous étions fossoyeurs d'un monde à l'agonie
We were gravediggers of a dying world
En ce temps-là les gens s'appelaient citoyens
In those days people were called citizens
Nous, nous étions mutants, nous étions androgynes
We, we were mutants, we were androgynous
Aujourd'hui la tempête a lynché mes copains
Today the storm has lynched my friends
Et je suis le dernier à rater mon suicide
And I am the last one to fail my suicide
À rater mon suicide
To fail my suicide
Mais je veux vivre encore plus ivre de cramé
But I want to live even more drunk of burnt
Je veux ronger le mal jusque dans ses recoins
I want to gnaw the evil right into its corners
J'ai traîné mes vingt siècles d'inutilité
I dragged my twenty centuries of uselessness
Je n'ai plus rien à perdre, mais j'en veux pour ma fin
I have nothing left to lose, but I want it for my end
J'en veux pour ma faim
I want it for my hunger
En ce temps-là nos fleurs vendaient leur viande aux chiens
En aquel tiempo nuestras flores vendían su carne a los perros
Et nous habitions tous de sordides tripots
Y todos vivíamos en sórdidos tugurios
Avec des aiguillages pour nos petits matins
Con cambios de agujas para nuestras mañanas
Quand le beau macadam nous traitait de salauds
Cuando el hermoso asfalto nos trataba de bastardos
Nous traitait de salauds
Nos trataba de bastardos
Nous vivions nos vertiges dans des vibrations folles
Vivíamos nuestros vértigos en locas vibraciones
Et gerbions nos enzymes en nous gueulant, moteur
Y vomitábamos nuestras enzimas gritándonos, motor
Mais entre deux voyages, entre deux verres d'alcool
Pero entre dos viajes, entre dos copas de alcohol
Nous n'avions pas le temps de décompter nos heures
No teníamos tiempo para contar nuestras horas
De décompter nos heures
Para contar nuestras horas
Nous étions les danseurs d'un monde à l'agonie
Éramos los bailarines de un mundo agonizante
En même temps que fantômes, conscients d'être mort-nés
Al mismo tiempo que fantasmas, conscientes de haber nacido muertos
Nous étions fossoyeurs d'un monde à l'agonie
Éramos sepultureros de un mundo agonizante
En ce temps-là le rien s'appelait quotidien
En aquel tiempo la nada se llamaba cotidiano
Et nous allions pointer dans les jobs interdits
Y nos íbamos a fichar en los trabajos prohibidos
Dans les musiques blêmes, dans les sombres parfums
En las músicas pálidas, en los oscuros perfumes
Dans les dédales obscurs où plane la folie
En los oscuros laberintos donde planea la locura
Où plane la folie
Donde planea la locura
Et nous avions des gueules à briser les miroirs
Y teníamos caras para romper los espejos
À ne montrer nos yeux que dans le contre-jour
Para mostrar nuestros ojos solo en contraluz
Mais entre deux délires, entre deux idées noires
Pero entre dos delirios, entre dos ideas negras
Nous étions les plus beaux, nous vivions à rebours
Éramos los más bellos, vivíamos al revés
Nous vivions à rebours
Vivíamos al revés
Nous étions les danseurs d'un monde à l'agonie
Éramos los bailarines de un mundo agonizante
En même temps que fantômes, conscients d'être mort-nés
Al mismo tiempo que fantasmas, conscientes de haber nacido muertos
Nous étions fossoyeurs d'un monde à l'agonie
Éramos sepultureros de un mundo agonizante
En ce temps-là les gens s'appelaient citoyens
En aquel tiempo la gente se llamaba ciudadanos
Nous, nous étions mutants, nous étions androgynes
Nosotros, éramos mutantes, éramos andróginos
Aujourd'hui la tempête a lynché mes copains
Hoy la tormenta ha linchado a mis amigos
Et je suis le dernier à rater mon suicide
Y soy el último en fallar en mi suicidio
À rater mon suicide
En fallar en mi suicidio
Mais je veux vivre encore plus ivre de cramé
Pero quiero vivir aún más borracho de quemado
Je veux ronger le mal jusque dans ses recoins
Quiero roer el mal hasta en sus rincones
J'ai traîné mes vingt siècles d'inutilité
He arrastrado mis veinte siglos de inutilidad
Je n'ai plus rien à perdre, mais j'en veux pour ma fin
Ya no tengo nada que perder, pero quiero para mi final
J'en veux pour ma faim
Quiero para mi hambre
En ce temps-là nos fleurs vendaient leur viande aux chiens
In jener Zeit verkauften unsere Blumen ihr Fleisch an die Hunde
Et nous habitions tous de sordides tripots
Und wir alle wohnten in schäbigen Spelunken
Avec des aiguillages pour nos petits matins
Mit Weichen für unsere frühen Morgen
Quand le beau macadam nous traitait de salauds
Als der schöne Asphalt uns als Schweine bezeichnete
Nous traitait de salauds
Uns als Schweine bezeichnete
Nous vivions nos vertiges dans des vibrations folles
Wir lebten unsere Schwindelgefühle in verrückten Schwingungen
Et gerbions nos enzymes en nous gueulant, moteur
Und erbrachen unsere Enzyme, während wir uns anschrien, Motor
Mais entre deux voyages, entre deux verres d'alcool
Aber zwischen zwei Reisen, zwischen zwei Gläsern Alkohol
Nous n'avions pas le temps de décompter nos heures
Hatten wir keine Zeit, unsere Stunden zu zählen
De décompter nos heures
Unsere Stunden zu zählen
Nous étions les danseurs d'un monde à l'agonie
Wir waren die Tänzer einer sterbenden Welt
En même temps que fantômes, conscients d'être mort-nés
Gleichzeitig als Geister, bewusst tot geboren zu sein
Nous étions fossoyeurs d'un monde à l'agonie
Wir waren Totengräber einer sterbenden Welt
En ce temps-là le rien s'appelait quotidien
In jener Zeit wurde das Nichts Alltag genannt
Et nous allions pointer dans les jobs interdits
Und wir gingen in verbotene Jobs
Dans les musiques blêmes, dans les sombres parfums
In blasse Musik, in dunkle Düfte
Dans les dédales obscurs où plane la folie
In dunkle Irrgärten, wo der Wahnsinn herrscht
Où plane la folie
Wo der Wahnsinn herrscht
Et nous avions des gueules à briser les miroirs
Und wir hatten Gesichter, die Spiegel zerbrechen könnten
À ne montrer nos yeux que dans le contre-jour
Zeigten unsere Augen nur im Gegenlicht
Mais entre deux délires, entre deux idées noires
Aber zwischen zwei Wahnvorstellungen, zwischen zwei dunklen Gedanken
Nous étions les plus beaux, nous vivions à rebours
Wir waren die Schönsten, wir lebten rückwärts
Nous vivions à rebours
Wir lebten rückwärts
Nous étions les danseurs d'un monde à l'agonie
Wir waren die Tänzer einer sterbenden Welt
En même temps que fantômes, conscients d'être mort-nés
Gleichzeitig als Geister, bewusst tot geboren zu sein
Nous étions fossoyeurs d'un monde à l'agonie
Wir waren Totengräber einer sterbenden Welt
En ce temps-là les gens s'appelaient citoyens
In jener Zeit wurden die Menschen Bürger genannt
Nous, nous étions mutants, nous étions androgynes
Wir waren Mutanten, wir waren androgyn
Aujourd'hui la tempête a lynché mes copains
Heute hat der Sturm meine Freunde gelyncht
Et je suis le dernier à rater mon suicide
Und ich bin der Letzte, der seinen Selbstmord vermasselt
À rater mon suicide
Der seinen Selbstmord vermasselt
Mais je veux vivre encore plus ivre de cramé
Aber ich will noch betrunken vom Verbrannten leben
Je veux ronger le mal jusque dans ses recoins
Ich will das Übel bis in seine Ecken nagen
J'ai traîné mes vingt siècles d'inutilité
Ich habe meine zwanzig Jahrhunderte Nutzlosigkeit herumgeschleppt
Je n'ai plus rien à perdre, mais j'en veux pour ma fin
Ich habe nichts mehr zu verlieren, aber ich will es für mein Ende
J'en veux pour ma faim
Ich will es für meinen Hunger
En ce temps-là nos fleurs vendaient leur viande aux chiens
In quel tempo i nostri fiori vendevano la loro carne ai cani
Et nous habitions tous de sordides tripots
E tutti noi vivevamo in squallidi bordelli
Avec des aiguillages pour nos petits matins
Con degli scambi per le nostre mattine
Quand le beau macadam nous traitait de salauds
Quando il bel manto stradale ci chiamava bastardi
Nous traitait de salauds
Ci chiamava bastardi
Nous vivions nos vertiges dans des vibrations folles
Vivevamo i nostri vertigini in folli vibrazioni
Et gerbions nos enzymes en nous gueulant, moteur
E vomitavamo i nostri enzimi urlando, motore
Mais entre deux voyages, entre deux verres d'alcool
Ma tra due viaggi, tra due bicchieri di alcol
Nous n'avions pas le temps de décompter nos heures
Non avevamo il tempo di contare le nostre ore
De décompter nos heures
Di contare le nostre ore
Nous étions les danseurs d'un monde à l'agonie
Eravamo i danzatori di un mondo in agonia
En même temps que fantômes, conscients d'être mort-nés
Allo stesso tempo fantasmi, consapevoli di essere nati morti
Nous étions fossoyeurs d'un monde à l'agonie
Eravamo i becchini di un mondo in agonia
En ce temps-là le rien s'appelait quotidien
In quel tempo il nulla si chiamava quotidiano
Et nous allions pointer dans les jobs interdits
E andavamo a timbrare in lavori proibiti
Dans les musiques blêmes, dans les sombres parfums
Nelle musiche pallide, nei profumi oscuri
Dans les dédales obscurs où plane la folie
Nei labirinti oscuri dove aleggia la follia
Où plane la folie
Dove aleggia la follia
Et nous avions des gueules à briser les miroirs
E avevamo delle facce da spezzare gli specchi
À ne montrer nos yeux que dans le contre-jour
Da non mostrare i nostri occhi che in controluce
Mais entre deux délires, entre deux idées noires
Ma tra due deliri, tra due idee nere
Nous étions les plus beaux, nous vivions à rebours
Eravamo i più belli, vivevamo al contrario
Nous vivions à rebours
Vivevamo al contrario
Nous étions les danseurs d'un monde à l'agonie
Eravamo i danzatori di un mondo in agonia
En même temps que fantômes, conscients d'être mort-nés
Allo stesso tempo fantasmi, consapevoli di essere nati morti
Nous étions fossoyeurs d'un monde à l'agonie
Eravamo i becchini di un mondo in agonia
En ce temps-là les gens s'appelaient citoyens
In quel tempo le persone si chiamavano cittadini
Nous, nous étions mutants, nous étions androgynes
Noi, eravamo mutanti, eravamo androgini
Aujourd'hui la tempête a lynché mes copains
Oggi la tempesta ha linciato i miei amici
Et je suis le dernier à rater mon suicide
E io sono l'ultimo a fallire il mio suicidio
À rater mon suicide
A fallire il mio suicidio
Mais je veux vivre encore plus ivre de cramé
Ma voglio vivere ancora più ubriaco di bruciato
Je veux ronger le mal jusque dans ses recoins
Voglio rosicchiare il male fino nei suoi angoli
J'ai traîné mes vingt siècles d'inutilité
Ho trascinato i miei venti secoli di inutilità
Je n'ai plus rien à perdre, mais j'en veux pour ma fin
Non ho più nulla da perdere, ma ne voglio per la mia fine
J'en veux pour ma faim
Ne voglio per la mia fame

Curiosités sur la chanson Exil sur planète fantôme de Hubert-Félix Thiéfaine

Sur quels albums la chanson “Exil sur planète fantôme” a-t-elle été lancée par Hubert-Félix Thiéfaine?
Hubert-Félix Thiéfaine a lancé la chanson sur les albums “Dernières Balises (Avant Mutation)” en 1981, “Soleil Cherche Futur” en 1982, “En Concert” en 1983, “Route 88” en 1988, “En Concert à Bercy” en 1999, et “La Collection 78-88” en 2009.
Qui a composé la chanson “Exil sur planète fantôme” de Hubert-Félix Thiéfaine?
La chanson “Exil sur planète fantôme” de Hubert-Félix Thiéfaine a été composée par Hubert-Felix Thiefaine, Claude Mairet.

Chansons les plus populaires [artist_preposition] Hubert-Félix Thiéfaine

Autres artistes de Folk