Il N’est Point De Sot Métier (Part 2)

La Maison Tellier

Il me revient qu'à Manhattan
Nous déversions des tonnes de larmes
Combien étais-ce à Toronto ?
Que nous jetions nos cœurs à l'eau

Ces hommes qui nous poursuivaient
M'ont fait perdre tout ce que j'aimais
Je suis fatiguée de courir
De ne plus m'attendre [?]

Cheveux gras, la barbe taillée
Il n'était point de sot métier
Compagnon des chiens faméliques
Nous parcourions les Amériques

Helmut tu me disais sans cesse :
"Just wait and see, my dear princess"
Je suis fatiguée de courir
Je peux encore t'entendre dire :

Je me plais à croire qu'il me suffis d'attendre
Je me plais à croire qu'il me suffis d'attendre
Je me plais à croire qu'il me suffis d'attendre, et voir

Nous mettions nos pas en liance
Ton ventre arrondi bondissait
Sur les planches d'une piste de danse
J'ai perdu tout ce que j'aimais

Les jours comme ça le soleil brille
Les enfants jouent dans le verger
Il me semble que dans leurs cris
On peux entendre murmurer :

Je me plais à croire qu'il me suffis d'attendre
Je me plais à croire qu'il me suffis d'attendre
Je me plais à croire qu'il me suffis d'attendre, et voir

Je me plais à croire qu'il me suffis d'attendre
Je me plais à croire qu'il me suffis d'attendre
Je me plais à croire qu'il me suffis d'attendre, et voir

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