Mytho
Sur mon carnet
J’écris ton nom
Toi que je ne reconnaîtrais
Sûrement jamais
Dans un village à côté
Un monde s’endort
Mon monde s’endort
Toi qui ne le connaîtras
Sûrement jamais
Si j’étais resté à m’lamenter
À ne rien faire de mes journées
Traîner dans les bars du quartier
J’crois que j’t’aurais bien plus aidé
Et puisqu’elle m’a dit de m’barrer
Tes souvenirs
Sont comme les miens
Ce sont les pires
Quand on ne sait rien
On s’invente des mots
Excuses inutiles
On dit qu’on s’en fout
A « où est-il ? »
J’te parlerai pas
D’erreur de jeunesse
Vu qu’y a qu’les grands qu’en font
Plutôt d’une sombre
Histoire de fesses
Où la fesse m’a pris pour un con
Mieux vaut parfois ne pas être là
Que d’y être mal, mytho