Joie d’être gai
Comme la rosée se pose
En silence sur les gazons la nuit
Entre nous quelque chose
S'était installé sans faire de bruit
J'ai roulé jusqu'au crépuscule
Te trouver sur la péninsule
Tu m'attendais avec les bras dans l'air
Joie d'être gai
Joie d'être gai
Joie d'être gai
Joie d'être gai
Le soleil était rose
Nos couettes flottaient dans l'air salin
Le temps s'est mis à pause
Les mouettes chantaient dans le matin
Perchés en haut du précipice
Enfin le temps était propice
Quand pour la première fois dans l'air
Joie d'être gai
Joie d'être gai
Joie d'être gai
Joie d'être gai
Tes lèvres posées sur les miennes
Sont venues m'effacer la peine
Le reste était derrière moi dans l'air
Joie d'être gai
Joie d'être gai
Joie d'être gai
Joie d'être gai