N
Une année s'est écoulé
L'hiver dernier
C'est dans tes pas que je marchais
Un ballon à mon poignet
Ma peine est lourde
Elle lui empêche de s'envoler
J'ai marché dans tout paris
Mais à chaque galerie
C'est ton ombre que j'aperçois
Oui j'entends ta voix
Qui résonne et fais écho au plus profond de moi
J'erre jusqu'à la fermeture des tabacs
Jusqu'à ce que le dernier métro gronde sous mes pas
cvenue d'iéna
J'essaie d'écrire mes peines
Mais chaque nuit elles reviennent
Et m'entraînent dans une gangrène
Une galerie souterraine et lointaine
D'une haine qui demeure encore la mienne
J'ai la vingtaine mais mon âme est en peine
La mélancolie remplace le sang dans mes veines
J'épie à travers les persiennes
c la recherche de la silhouette qui est tienne
Dans mes rêves je te vois
Je sens tes bras
Me serrer au fond de mes draps
Le goût de ta bouche sur mes lèvres
Et tes promesses se perdent aux tréfonds des ténèbres
Et j'espère que tu t'en mordras les doigts quand tu verras que je serai célèbre
J'essaie d'écrire mes peines
Mais chaque nuit elles reviennent
Et m'entraînent dans une gangrène
Une galerie souterraine et lointaine
D'une haine qui demeure encore la mienne
J'ai la vingtaine mais mon âme est en peine
La mélancolie remplace le sang dans mes veines
J'épie à travers les persiennes
c la recherche de la silhouette qui est tienne