L’Auberge du bouleau blanc
Un cheval voit le jour dans un ranch du colorado
Je l'ai vu dans des songes, attendri j'etais un ado
Au pays de billy le kid et de Pat garet
Naitre au fond d'une etable comme Jésus de Nazareth
C'est pas le genre de bête qu'on destine à des rodéos
Parce qu'il a de la classe quand il court sur les grands plateaux
On dirait un bovono plus idéal du gazo
S'il gagne quelques courses il nous rendra les jours plus beaux
Et on s'est mis a gagner les tiercés du Michigan
Arizona, Oklahoma, Utah c'est lui qui gagne
Mais pour une poignée de dollars notre père l'a vendu
Depuis il est plus riche et moi je me sens perdu
Je lui caressais le cou le soir, nettoyais ces sabots
De toutes ces exploitations alentours c'était le plus beau
Mon cheval, mon mustang, mon pur sang, ma vie
Je suis seul au monde depuis qu'il est parti
La vie était douce a l'auberge du bouleau blanc
La vie était douce à l'auberge du bouleau blanc
Je vois dans télés du monde qu'il va bien okay
Qu'il est souvent monté par une femme jockey
C'est la crème de la crème
Elle ne fait rien elle surfe sur le meilleur athlète de toute l'histoire du turf
Et a chaque fois qu'il gagne papa regrette son geste
Il a perdu aux courses , son ranch et tout le reste
Ne lui reste que le rêve que de retrouver le même
D'avoir la bonne étoile comme pour l'enfant de Bethlehem
Moi, je me souviens de nos ballades le long des canyons
Agressivité du tigre, sérénité des lionnes
Mon cheval, mon mustang, mon champion, ma vie
Je suis seul au monde depuis que t'es parti
La vie était douce a l'auberge du bouleau blanc
La vie était douce à l'auberge du bouleau blanc
Bis