500 ans
De la nature à l’urbanisme
Ils ont fait leur choix
Mais tout le monde répond aux
Lois de Wanka Tanka
Moi j’aime ma Terre, comme personne
Lui parle tout les jours
La protège comme personne
L’homme ne trouve pas sa route car
Il ne la cherche pas
Tu te sens seul dans la vie, normal
Aux forêts tu n’parles pas
Tu n’as plus de connection avec
La pluie et l’orage
Tu es tellement loin de notre mère
On le sens dans tes pages
La paix n’existe que sur l’instant
Comme la haine d’ailleurs
À vrai dire tout sentiment dépend
Souvent de ton intérieur
Mais notre intérieur dépend
De notre extérieur
Et quand l’extérieur est pollué ça
Joue sur notre intérieur
Il y a les conquistadors, il y a les chamans
Il y a les hommes de connaissance
Et encore plus chez la femme
Mais tout ça n’est enseignable que
Par les éléments naturels
Aucun diplôme ne t’enseignera le voyage
De ton corps Astral
Le repos du guerrier n’existe
Que dans les livres
Si tu savais à quoi on s’livre
Pour essayer d’être un jour libre!
Je comprendrais qu’tu changes de cap
On pratique un génocide sur nous
Un esprit libre est un miroir
On préfère le voir à genoux
De 500 ans en périodes creuses
Il n’a qu’un pas d’géant
Mais même le géant en périodes creuses
Est fragile comme le flamant
Tu te sentais robuste avant hein
Tu te sentais fort avant
Tu aurais du t’occuper de ta lumière
Et respecter les éléments
Je n’peux que remercier ceux qui
M’ont donné les clés
Les orateurs, les écrivains
Les sages teintés d’humilité
Ceux qui préservent, ceux qui conservent
Qui cherchent, qui pensent
Le patrimoine de l’humanité et
Son terrain de clairvoyance
J’aime l’humain quand il fait l’effort
D’être beau et magique malgré les autres
Quand il accepte ses fautes
Mais surtout les comprends
Devient le changement donc
Devient l’enseignant peu ont ce parcours
L’odyssée souvent s’arrête
Avant d’être en parfaite harmonie
Avec son être les 500 ans de destruction
De la conscience cosmique
Ont amenés l’humanité vers son point critique
Mes références sont multiples
Mais l’importance est ma symbiose
Ma virtuosité, dans les choses que j’ose
Quand le doute n’est plus
Les limites exposent et soudain du Chaos on
Repasse à l’osmoseuat-500-ans
Et-soudain-du-chaos-on-repasse-a-losmose
De 500 ans en périodes creuses
Il n’a qu’un pas d’géant
Mais même le géant en périodes creuses
Est fragile comme le flamant
Tu te sentais robuste avant hein
Tu te sentais fort avant
Tu aurais du t’occuper de ta lumière
Et respecter les éléments
Il n’y a pas de froideur sans chaleur
De lourdeur sans légèreté
De platitude sans tranchant
De tendresse sans dureté
De stabilité sans mobilité
De solidité sans liquidité
Rien ne s’oppose, tout s’complète
La vie, le guide du bien être
Quand on saisit toutes les facettes
Et qu’on complète son manque
J'ai le flow qu’il faut car
J’ai les maîtres qu’il faut
Quand le monde m’observe c’est
Bien plus qu’un show
C’est l’écriture qui perdure
Le passé dans le futur
Les multiples structures de l’âge
Mur pour l’art sûr
C’est l’assimilation des dialectes des
Langues Sanscrit ou Grec
Des cultures Maya, Toltèque, Aztèques
Développer les facettes de son être qu’ils
Voudraient qu’on occulte S’intéresser
À l’astronomie
Aux sciences et pas qu’aux putes
À l’histoire, à l’écologie
À la survie de l’homme
En somme le futur nous réserve
Ce que l’on façonne
De 500 ans en périodes creuses
Il n’a qu’un pas d’géant
Mais même le géant en périodes creuses
Est fragile comme le flamant
Tu te sentais robuste avant hein
Tu te sentais fort avant
Tu aurais du t’occuper de ta lumière
Et respecter les éléments