Minuit

Trop penser et s’laisser mourir
à petit feu
Trop rêver et s’laisser vibrer
contre le feu
J’tai imaginé oui imaginé
Ton image est née dans ma tête
c’est comme une flèche
qui atteint sa cible
Notre amour lisible c’est sûr sur nos lèvres
Mais c’est pas facile que ça dure et qu’on l’admette
Plantée dans mon corps
La flèche empoisonne mes songes
comme une envie accessible
il suffit qu’on plonge
J’ressens comme du love
Le sort jeté
Je sombre
Dans le vide
Puis à la fois dans ton corps
Alors je m’interroge
A minuit, minuit, minuit
Penses-tu à moi
Souviens toi de nos nuits
Et de moi
Les larmes au bord des cils, cils, cils
Comme seule sur une île
Mais le soir je deviens lucide
Mon amour solitaire me guide
Alors à minuit, minuit, minuit
Penses-tu à moi
Souviens toi de nos nuits
Et de moi
Les larmes au bord des cils, cils, cils
Aimer c’est pas facile
Mais le soir je deviens lucide
Mon amour solitaire me guide
J’adore quand tu me laisses penser
que tu m’adores
Mais j’deteste avoir tort quand
y’a le doute qui s’installe
J’débale tout ce que je ressens
Je sais pas ce que tu sens
ou même si tu mens
J’ai peur de t’connaître
car bel inconnu
tu es déjà dans ma tête
mon ingénu
Tu es ma muse
le double de mon âme
Je t’aimais déjà
sans te connaître
Alors quand vient le soir
je continue de t’imaginer, oui t’imaginer
J’ressens comme du love
Le sort jeté
Je sombre
Dans le vide
Puis à la fois dans ton corps
Alors je m’interroge
A minuit, minuit, minuit
Penses-tu à moi
Souviens toi de nos nuits
Et de moi
Les larmes au bord des cils, cils, cils
comme seule sur une île
Mais le soir je deviens lucide
Mon amour solitaire me guide
Alors à minuit, minuit, minuit
Penses-tu à moi
Souviens toi de nos nuits
Et de moi
Les larmes au bord des cils, cils, cils
Aimer c’est pas facile
Mais le soir je deviens lucide
Mon amour solitaire me guide
Tes yeux dont le soleil
reflète la mer
Noient mon amour
solitaire
Ça me fait briller
Ça me fait briller
Avec toi vieillir ça m’fais peur
Que l’un reste et que l’autre meurt
Y’a tellement de sensations
Oui tu connais les pulsions
Nos corps sur mêmes pulsations
Pensées fuyantes
Vision d’horreur
C’est quand on aime
Qu’il y’a de la douleur
Je ne veux pas que l’on saigne
Juste s’aimer du amour suprême
Pensées fuyantes
Vision d’horreur
C’est quand on aime
Qu’il y’a de la douleur
Je ne veux pas que l’on saigne
Juste s’aimer du amour suprême
Alors à minuit, à minuit, alors à minuit …